Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010

Invité

je ne peux tjrs pas me connecter avec mon pseudo
bonjour
merci Zanzibar
je ne sais pas si vous aviez regarder les info de TF1 du vendredi mais je vais vous faire partagé ça ,

sublime chanson avec la jeune cantatrice Anne-Caterine Gillet

a+ alice

Nombre de messages : 959 Date d'inscription : 14/01/2009

Zanzi de qui est le premier compte rendu ??? celui qui est à suivre!

Nombre de messages : 959 Date d'inscription : 14/01/2009

et le lien de l'article afin de la lire ''d'une traite'' ...comme on dit!!!
http://www.francesoir.fr/musique/2010/02/06/adamo.html

Nombre de messages : 959 Date d'inscription : 14/01/2009

bon voici le lien pour les photos du site hiboo...photos qui ma foi sont les plus belles vu depuis longtemps....

le déplacement vaut la peine et contrairement à ce que Michel dit, il me semble qu'il y a de superbes jeux de lumière Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 Icon_biggrin

bon voilà
http://www.le-hiboo.com/21068-salvatore-adamo-olympia-paris-05-02-2010#comment-44498

Invité

Article France soir suite

Qui est cet ange gardien ?

Il veille sur moi depuis toujours et il continue à bien travailler. Enfant, j’ai été cloué au lit par une méningite pendant un an. A 40 ans, j’ai fait un infarctus. Et en 2004, j’ai fait un AVC (NDLR : accident vasculaire cérébral) et j’ai dû annuler une partie de ma tournée. Aujourd’hui, je considère le fait d’être encore en vie comme un cadeau.
Au fond, comment expliquez-vous la longévité de votre carrière ?
Ce n’est pas facile de répondre à cette question… Mes chansons ont eu un gros impact dans les années 1960 et il est possible qu’elles se soient transmises de parents à enfants. Je profite aussi de ces phénomènes cycliques de nostalgie qui font qu’on n’en finit pas de redécouvrir ces années-là. Il y a aussi peut-être le fait que j’essaie de me mettre au diapason des nouveaux venus.
Que pensez-vous de la nouvelle génération de chanteurs ?
J’aime beaucoup. Même si je trouve qu’à travers leurs attitudes et leurs orchestrations, les Bénabar, Sanseverino et autres Olivia Ruiz s’inspirent plus des années 1950 que des années 1960. La France est définitivement un pays formidable : ici, il existe des radios qui jouent le jeu et passent régulièrement les grands maîtres : Brassens, Brel, Trenet, Gainsbourg… Il y a une certaine continuité dans la chanson française, on y revient toujours.

Invité

Il fait partie de ceux dont les chansons sont inscrites dans l’inconscient collectif. Sur scène à Paris, il va chanter ses plus grands succès et quelques nouveaux titres. A 66 ans, Salvatore Adamo porte toujours beau. En concert depuis hier soir à l’Olympia, il est venu passer, comme il dit élégamment, « un bonjour à Paris ! ». Depuis la sortie de son bel album Le Bal des gens bien, en 2008, où il croisait le fer avec ses confrères (Laurent Voulzy, Thomas Dutronc, Calogero…) pour une série de duos, il s’était fait discret. « Je suis déjà dans l’optique d’un nouvel album, explique-t-il. Je vais d’ailleurs présenter au public parisien sept ou huit chansons inédites sur scène. » Tout ça entre Tombe la neige, Vous permettez monsieur ou encore Les Filles du bord de mer, autant de preuves du charme inoxydable de Salvatore Adamo.

FRANCE-SOIR. Qu’est ce qui vous pousse à continuer à chanter ?
SALVATORE ADAMO. Je suis sans doute un adolescent attardé. J’essaie de ne pas perdre mes capacités d’émerveillement, de garder une certaine fraîcheur. Sans fausse modestie – même si mes enfants me supplient de ne pas abuser de cette expression… –, je possède un répertoire suffisamment riche pour me permettre d’omettre certains titres sur scène si je n’en ai pas envie. J’ai le recul suffisant et il m’arrive même de me prendre au second degré ! Après tout ce temps… Et puis je sais que je peux toujours compter sur mon ange gardien.

Invité

Un article paru ce samedi dans le journal parisien "France Soir"
Salvatore Adamo : “Je peux compter sur mon ange gardien”

Actu France Soir / Service Culture, le samedi 6 février 2010 à 04:00

lu 245 fois · donnez votre avis

Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 Printer

Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 User_go

Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 Twitter

[url=http://www.viadeo.com/shareit/share/?url=http://www.francesoir.fr/musique/2010/02/06/adamo.html&title=Salvatore+Adamo+%3A+%E2%80%9CJe+peux+compter+sur+mon+ange+gardien%E2%80%9D&urllanguage=fr&urlaffiliate=31112&encoding=UTF-8 &urlpicture=http://www.francesoir.fr/uploads/articles/min2_16fafc2f2fd9989bcf86f3b66a070961.jpg &overview=Il fait partie de ceux dont les chansons sont inscrites dans l’inconscient collectif. Sur scène à Paris, il va chanter ses plus grands succès et quelques nouveaux titres.]

Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 Viadeo

[/url]

Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 Wikio

Invité

Bon je suis nul pour l'indication des liens, alors que je croyais avoir respecté les consignes, mais si vous allez sur le site de "le Hibou", il y a des photos du concert et même une du public qui attend devant la salle.
Donc merci à une âme charitable pour mettre un lien qui permette d'accéder directement. Compte rendu virtuel de l'Olympia 2010 Icon_biggrin

Invité

Rod - [url=https://lesamisdadamo.exprimetoi.net/ HibOO[/url]

Invité

Bon je peux vous parler de la sortie des spectateurs que j'ai fait en entier.
Donc j'ai 2000 visages ou presque à mon actif. Tout d'abord et comme on peut s'en douter, partent en premier ceux qui ont sans doute été les moins convaincus par le spectacle. Et ceci fait drôle car alors que personne n'a du venir de force on voit des visages fermés, sans aucune expression qui quittent rapidement la salle. Ou peut être sont-il si émus qu'ils ont besoin de décanter ces plus de deux heures pour retrouver le bonheur des roses qui sont roses.
Apres ces premies départs un peu espacées, le flot peu a peu grossit et les visages se dérident. Mais ce qui est relativement étonnant c'est que les personnes sont relativement silencieuses, comme si une période de silence était nécessaire pour retrouver la réalité de la vie courante.
Ce n'est qu'après quelques minutes que l'on voit des spectateurs qui échangent des mots entre eux au travers desquels ont sent le bonheur qu'ils viennent de vivre.
Car il est évident que Salvatore vient de triompher pour ceux qui l'aiment depuis si longtemps.

Que vous dire du spectacle de particulier :

- Sur scène il y a eu la présence de Bénabar dans "Vous permettez monsieur"
- Que la cantatrice belge ( Mme Gillet je crois) a chanté en duo avec Salvatore par deux fois : la première dans l'évocation de la Callas, obtenant bien entendu un triomphe et une deuxième fois dans "Pauvre Verlaine".
Il a à priori chanté 5 chansons nouvelles ( certaines découvertes en premier au Quebec), mais pour ceci il va falloir que je remette mes lunettes pour consulter mes notes.

A suivre

Invité

Comme j'attends la sortie du nouvel album de Salvatore pour aller le revoir en concert, je m'en suis tenu ce vendredi aux récits d'ami (e)s et de rencontres imprévues pour parler un peu du concert de Salvatore. Car eux portaient la magie espérée de ce spectacle.
Donc c'est à partir du trottoir du boulevard des Capucines que je peux vous en dire quelques mots.
Tout d'abord un constat, malgré la sortie de son album de duos avec une génération plus récente, Salvatore n'a pas réussi ou presque pas à faire tendre l'oreille à une autre génération. Ou alors nous nous trouvions devant des personnes qui accompagnaient un membre de leur famille.
Donc c'est au milieu de fidèles depuis souvent des dizaines d'années qu'il est venu partager l'amour qu'il donne et qu'il reçoit de son public. Et aussi d'invités prestigieux puisqu'il m'a été rapporté que Roberto Alagna était présent et qu'il lui avait fait une dédicace lors de son spectacle.
Ce premier concert invitait aux voyages les plus inattendus car était présent un jeune homme amateur de Salvatore qui accompagnait sa maman. Ils représentaient bien l'aspect international de Salvatore puisqu'ils étaient japonais et habitaient à Los Angeles. Un moyen d'entendre parler le portugais du Bresil, car cette femme simplement pour le plaisir de la langue l'avait apprise.
Donc des personnes venues d'un peu partout comme souvent et de tres nombreuses heures d'avion ou de bus. Ne connaissant que quelques personnes parmi le public, je n'ai pu qu'être touché de faire la connaissance de Nathalie, venue de Russie en bus.
Pour le reste permettez moi de saluer les germanophones, grecs, russes, catalans, et bien entendu francophones avec qui j'ai pu discuter rapidement hier soir. Et puis un salut particulier à la nation chiliano suisse représentée par sans doute son seul habitant.

A suivre